Pour clôturer la saison, le BDG vous propose une soirée presque-estivale !
L’ambiance
Dans les années 80, l’escalade était plus qu’un sport, c’était un véritable état d’esprit avec des bandanas flashy, des leggings à motifs léopard et des chaussons d’escalade aussi confortables qu’une paire de sabots en bois.
Les grimpeurs de l’époque n’avaient pas peur de se démarquer. Ils arboraient des coiffures impossibles, des mulets plus hauts que les falaises qu’ils escaladaient, et des moustaches qui auraient fait rougir Magnum.
Les cordes de l’époque semblaient avoir une vie propre. Elles étaient épaisses, raides et récalcitrantes, et s’emmêlaient avec une facilité déconcertante, comme si elles complotaient pour transformer chaque descente en rappel en une aventure épique.
Et les techniques d’escalade ? On improvisait beaucoup! L’important, c’était de faire bonne figure. Ah, et les souvenirs après une journée d’escalade? Les soirées se terminaient souvent autour d’un feu de camp, à échanger des histoires incroyables de leurs exploits, chacune plus exagérée que la précédente, tout en dégustant des marshmallows grillés.
L’escalade dans les années 80, c’était plus qu’une activité sportive, c’était un style de vie, un spectacle permanent où chaque grimpeur était une rock star de la montagne, prêt à conquérir le sommet avec panache et beaucoup de couleurs vives.